segunda-feira, 23 de março de 2009

DROITS POLITIQUES DE LA GALICE

(Distribuídas 500 folhas o Dia da Classe Operária da Galiza na 10ª Reunião do Conselho dos Direitos Humanos da ONU depois de vencer por duas vezes o intuito da polícia suíça de o impedir no entanto o Relator Especial a informava sobre o Reino da Espanha)
Le 10 mars 1972 les ouvriers de Ferrol, soumis à la tyrannie des militaires franquistes, dans INSURRECTION a traîné la Galice toute pour la DÉMOCRATIE, de la LIBERTÉ ET de l'AUTODÉTERMINATION du peuple galicien. Étouffée dans sang, l'insurrection a blessé de mort le franquisme jusqu'à que les partis et les forces espagnoles ont donné continuité en consentant et en maintenant Le Roi et le Royaume de l'Espagne imposé par Franc au moyen de la Loi de Succession dictée dans plein État de la Guerre par lui initié pour exterminer les républicains, la République et leurs lois. Aujourd'hui les partis et les forces espagnoles ne veulent pas que le peuple galicien, qui a le droit de libre détermination pour établir librement sa CONDITION POLITIQUE, SON DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE, SOCIAL ET CULTUREL, exerce ce droit reconnu dans l'article 1.1 du Pacte International des Droits Civils et Politiques. Royaume de Espagne, État Part du dit Pacte International, qui a la responsabilité légale de administrer des territoires autonomes comme la Galice qui à son tour a reconnu par loi constitutionnelle la condition de NATIONALITÉ et de NATION par la Société des Nations en 1933, il ne promeut pas l'exercice du droit de libre détermination du peuple galicien bien qu'ainsi il soit obligé par l'article 1.3 du dit Pacte International parce qu'il sait et craint que le peuple Galicien libre et déterminé il décide l'UNION de la Galice avec le Portugal comme des siècles d'histoire COMMUNE exigent. Les partis et les forces dominants dans le Royaume de l'Espagne EMPÊCHENT que le peuple galicien disposent librement de leurs richesses et les ressources naturelles et ils PRIVENT le peuple galicien de leurs propres moyens de subsistance, c'es-à-dire, ils VIOLENT, outre les lois elles-mêmes, l'article 1.2 du dit Pacte International, tout pour ils se profiter à compte de la SPOLIATION, VOL ET RAPINE de las RICHESSES de la GALICE ; l'exemple du chantier naval de Fene dans la Ria de Ferrol nommé ASTANO est paradigme de comme Chef d'État (Le Roi) et Chef du Gouvernement promulguent des lois pour priver le peuple galicien de leurs moyens de subsistance, situation qui dure un quart de siècle (cf. www.galizaunidaportugal.blogspot.com).
Le Roi, Chef de l'État, les partis et les forces espagnoles dominants dans les successifs gouvernements du Royaume de l'Espagne ni promeuvent ni respectent le droit de libre détermination du peuple galicien d'accord aux dispositions de la Lettre des Peuples des Nations Unies, ni promulguent les pertinentes lois, ils promulguent des lois qui INTERDISENT ce droit. Pour atteindre leurs fins le peuple galicien peut disposer librement de leurs richesses et de ressources naturelles obligé à la coopération économique internationale comme ainsi il se reconnaît dans l'article 1.2 du dit Pacte International et ainsi l'État Partie nommé Royaume de l'Espagne LUI NIE et il fait tout POUR INTERDIRE la coopération économique internationale de la Galice intégrée avec Statut d'Observateur Associé dans la Communauté des Pays de Langue Portugaise en disposant librement de leurs sources d'énergie électrique (ENDESA, FENOSA, éoliennes, etc.), de leurs chantiers navals de la Ria de Ferrol, etc. bien que les massives protestations du peuple Galicien qu'a paralysé la Galice avec TROIS grèves générales au cours de l'année 1984 contre le Décret de Reconversion Navale donnée par Juan Carlos I et Felipe González, Chef d'État et de Gouvernement respectivement, ou le 1er décembre 2002, mobilisée contre la marée noire du « Prestige » et les partis et les forces espagnoles dirigées par Mr Aznar. En résumée, les droits politiques de la Galice particulièrement le droit de libre détermination du peuple galicien pour décider l'UNION de la Galice avec le Portugal EST RIGOUREUSEMENT INTERDIT manu militari et seul une fort et démocratique pression de la Communauté Internationale et de leurs institutions combinée avec la mobilisation citoyen intérieur au Nord et au Sud de Rio Minho c'est qu'il peut ROMPRE l'INTERDICTION. Nous faisons appel à votre solidarité pour que le Conseil des Droits Humains de l'ONU interviennent pour sauver la Galice.
À Génève, Jour de la Classe Ouvrière de la Galice, Mardi, 10 mars 2009
COMMISSION POUR LA RÉUNIFICATION NACIONAL DU LA GALICE ET PORTUGAL

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