«Brûlent, volent et assassinent à nom de Dieu»: a ainsi défini Castelão les espagnols dirigés par Franco lequel sous les ordres d'Adolf Hitler et de Mussolini ont massacré la Galice et sa population ils parce qu'ont voté à Fronte Populaire en 1936; méthodologie locale et universelle, de cojuntura et séculaire, de la monarchie espagnole.
Soixante-dixs ans après dans la Galice, depuis le 4 jusqu'au 14 août de 2006, 1.953 incendies, avec plus de 10.000 points de feu accusent, signalent et proclament l'existence d'une trame incendiaire organisé, active pendant plus de trente ans, d'un cas unique dans le monde, que gouverneurs, juges, police et Guardia Civil se nient voir, peut-être faire partie de la trame elles, leurs parents ou leur alliés dans l'idéologie fasciste et dans le racisme contre la Galice: ils créent un archétype humain d'être animalisé, être dégradé, sous-espèce, et ils lui attribuent à toute la population; ils ainsi sont, selon eux, les incendiaires: alcooliques, fous, toxicomanes, etc., qui agissent individuellement sous «l'effet imitation» (en résultant officielle des recherches de la Guardia Civil dans celles-ci trois décades dernières) avec capacité pour produire pendant dix jours dans un secteur d'environ 30.000 km2, 195,3 incendies par jour, plus de cinq incendies par heure, mille points de feu par jour et cinq points de feu par incendie, et encercler du feu les personnes qui l'éteignent au risque de leur vie. Des gouverneurs, juges, police et Guardia Civil nient l'évidence d'un groupe nombreux d'êtres humains avec des objectifs politiques pour instabilizar les gouvernements non semblables aux franquistes du Parti Populaire espagnol, clandestin, sans nom, organisé, coordonné, communiqué, structuré, dirigé, fourni, avec des moyens de transport, de connaissance très détaillée du terrain et de la climatologie, qui agit comme une armée, dans séquence, avec État-Major, contre le dispositif d'extinction du feu en le vainquant. À la victoire, célébrée par les dirigeants du PP avec vin alvarinho dans Cambados et dans le fief du trafic de drogue, de Riba de Umia, faut ajouter le sabotage de la société chimique allemande Brenntag en empoisonnant le fleuve Umia qui fournit d'eau potable un secteur de plus de 100.000 habitants.
Si Azanha et Negrin ont dénoncé en 1936-39 à invasion étrangère, mercenaire et clandestine des poténcias fascistes pour la destruction de la République espagnole, nous, soixante-dixs ans ensuite, dénonçons devant l'avis public européen une guerre étrangère, mercenaire et clandestine, d'attaque, invasion et occupation de la Galice camouflée sous la forme de réitérés des "accidents" et/ou autres activités dont les effets quantifiés pour dompter et châtrer la population essayent d'éviter l'inévitable : l'union de la Galice et du Portugal dans la République Fédérative de la Galice et du Portugal.
Strasbourg, mardi, 24 octobre 2006 (http://galizaunidaportugal.blogspot.com)
COMMISSION POUR LA RÉUNIFICATION NATIONALE DE LA GALICE ET DU PORTUGAL
Soixante-dixs ans après dans la Galice, depuis le 4 jusqu'au 14 août de 2006, 1.953 incendies, avec plus de 10.000 points de feu accusent, signalent et proclament l'existence d'une trame incendiaire organisé, active pendant plus de trente ans, d'un cas unique dans le monde, que gouverneurs, juges, police et Guardia Civil se nient voir, peut-être faire partie de la trame elles, leurs parents ou leur alliés dans l'idéologie fasciste et dans le racisme contre la Galice: ils créent un archétype humain d'être animalisé, être dégradé, sous-espèce, et ils lui attribuent à toute la population; ils ainsi sont, selon eux, les incendiaires: alcooliques, fous, toxicomanes, etc., qui agissent individuellement sous «l'effet imitation» (en résultant officielle des recherches de la Guardia Civil dans celles-ci trois décades dernières) avec capacité pour produire pendant dix jours dans un secteur d'environ 30.000 km2, 195,3 incendies par jour, plus de cinq incendies par heure, mille points de feu par jour et cinq points de feu par incendie, et encercler du feu les personnes qui l'éteignent au risque de leur vie. Des gouverneurs, juges, police et Guardia Civil nient l'évidence d'un groupe nombreux d'êtres humains avec des objectifs politiques pour instabilizar les gouvernements non semblables aux franquistes du Parti Populaire espagnol, clandestin, sans nom, organisé, coordonné, communiqué, structuré, dirigé, fourni, avec des moyens de transport, de connaissance très détaillée du terrain et de la climatologie, qui agit comme une armée, dans séquence, avec État-Major, contre le dispositif d'extinction du feu en le vainquant. À la victoire, célébrée par les dirigeants du PP avec vin alvarinho dans Cambados et dans le fief du trafic de drogue, de Riba de Umia, faut ajouter le sabotage de la société chimique allemande Brenntag en empoisonnant le fleuve Umia qui fournit d'eau potable un secteur de plus de 100.000 habitants.
Si Azanha et Negrin ont dénoncé en 1936-39 à invasion étrangère, mercenaire et clandestine des poténcias fascistes pour la destruction de la République espagnole, nous, soixante-dixs ans ensuite, dénonçons devant l'avis public européen une guerre étrangère, mercenaire et clandestine, d'attaque, invasion et occupation de la Galice camouflée sous la forme de réitérés des "accidents" et/ou autres activités dont les effets quantifiés pour dompter et châtrer la population essayent d'éviter l'inévitable : l'union de la Galice et du Portugal dans la République Fédérative de la Galice et du Portugal.
Strasbourg, mardi, 24 octobre 2006 (http://galizaunidaportugal.blogspot.com)
COMMISSION POUR LA RÉUNIFICATION NATIONALE DE LA GALICE ET DU PORTUGAL
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